Blanca Muñoz
Madrid, 1963
Blanca Muñoz obtient sa licence en Beaux-Arts à l'Université de Complutense de Madrid. Elle reçu une bourse du Gouvernement italien dans la Calcografia Nazionale (1989), une autre de l'Académie Royale d'Espagne à Rome (1990) ainsi que de la Direction des Relations Extérieures du Mexique (dans la ville du Mexique, 1992). Elle décroche une bourse “Leonardo a Investigadores y Creadores Culturales Fundación BBVA 2014” ainsi que de nombreux prix en gravure et sculpture, entre autres en 1999 le Premio Nacional de Grabado. En 2019 elle est nommée “universitaire élue” de l'Académie Royale des Beaux-Arts de San Fernando.
Sculptures monumentales dans des espaces publics : Altiva, Fondation Masaveu, Madrid 2019.
Talismán, Banca March, Madrid (2016).
Géminis, Tour Cepsa de Norman Foster, Madrid (2009). Panta rei, Málaga (2008).
Eclíptica, Palais des Congrès de Badajoz (2006). Perseidas II, Parc de la Curva de Elorrieta, Bilbao (2004). Leónidas, Gare du Príncipe Pío, Madrid (2004).
Dernières expositions individuelles :
- Hebras de luz, Académie des Beaux-Arts de San Fernando, Madrid (2020);
- Vaivén, Galerie Marlborough, Madrid (2018).
- Recapitulación, Galerie Marlborough, Barcelone, (2016).
- Tornasol, Galerie Marlborough, Madrid (2015).
- De l'acier à l'or, Galerie Minimasterpiece, Paris (2013).
- Circunnavegación 1990-2012, Salle Alcalá 31, Madrid (2013).
- Superficial, Galerie Marlborough, Madrid (2012).
- Cueva de estrellas, Salle La Gallera, Valence (2010).
- Joyas de Blanca Munñoz, Joyería Grassy, Madrid (2010).
- Blue Dance, Galerie Marlborough, Chelsea, New York (2009).
On compte aussi des oeuvres dans la Bibliothèque Nationale d'Espagne, le Musée National Centre Reina Sofía ainsi que le Musée National du Prado.
Oeuvres Exposées
- “Caníbal”, eau-forte avec des baguettes en acier inoxydable, 2004.
“Mon eau-forte “Caníbal” est l'interprétation de l'idée qui émerge lorsque l'on étudie deux galaxies et comment l'une d'elle, en fonction de son approche par rapport à l'autre et les deux attirées par la force de la gravité, “engloutit” sa compagne pour se convertir ensuite en une seule mais plus grande. C'est ce que les astronautes appellent le “cannibalisme galactique”. Cette même idée prend forme dans une sculpture monumentale à partir de tubes en acier inoxydable où sa polyvalence devient plus apparente.